FRANCIA. PRIMO ANNO DI MEDICINA: ALTERNATIVE PER LIMITARE LA “MACELLERIA” (78% DI INSUCCESSI PER ACCEDERE AL SECONDO ANNO) Stampa

Véritable usine à gaz qui laisse sur le carreau 78 % de candidats, la première année commune aux études de santé (Paces) est sous le feu des critiques depuis quelques années. Elle n’est plus un passage obligé : dix universités (Angers, Paris-V, Paris-VII, ­Paris-XIII, Rouen, Saint-Etienne, Strasbourg, l’université d’Auvergne, Poitiers et Tours) expérimentent des alternatives à la Paces, qui seront évaluées en 2019-2020. Objectif : créer des passerelles pour entrer directement en deuxième année d’études de santé, sans concours, à l’issue par exemple d’une licence. Le but est de diversifier le profil des étudiants reçus en deuxième année de médecine, pharmacie, odontologie et maïeutique, et d’offrir une alternative aux recalés. «On veut absolument mettre fin à la “boucherie” de la Paces». Sans renoncer à l’excellence. En savoir plus sur http://www.lemonde.fr http://tinyurl.com/hdp4t9k 27-01-16)